Toutes les fois qu'au travail de l'estude
Me reposant, tout endormi je veille,
Et que de loing sa voix doucement rude,
Ou le tintin des clefz qu'elle appareille,
Transmet un air sonnant à mon oreille,
Tant me ravit sa recordation,
Que mon esprit de l'estude s'esveille,
Pour s'endormir en contemplation.